Goodwood Revival 2017 : L’ambiance
Actualité Goodwood Revival Historique

Goodwood Revival 2017 : L’ambiance

Goodwood Revival 2017
Goodwood Revival 2017

Ce qui rend Goodwood Revival si magique et si particulier, outre la qualité (et la richesse) des plateaux en piste, l’action et les pilotes, c’est bien sûr l’ambiance. Le temps s’est arrêté en 1966, et rien n’a bougé depuis…

Nous voici donc parti pour un voyage dans le temps, où tout jusque dans les moindres détails participe à cette ambiance unique. Et cela commence même en dehors du circuit, comme ici à Petworth le jeudi soir à une dizaine de km du circuit.

Un petit apéro improvisé par quelques locaux dans une ambiance absolument délicieuse !

Quelle patine sur les sièges de cette Amilcar. Je ne sais pas vous mais je préfère la voiture utilisée et usée que rutilante dans un musée.

Mme repart par la route au volant de cette gigantesque Rolls Royce, pas de doute, les anglais sont de vrais Petrolheads !!

Accueil toujours aussi chaleureux à notre chambre d’hôtes, avec un coin de ciel bleu en plus 🙂

Arrivés au circuit, bienvenu en Italie !!

Les 60 ans de la Fiat 500 sont le thème de la Piazza centrale, garage, restau, bar et bien sûr des 500 partouuuuuut

Buongiorno bella ragazza

Sommes-nous vraiment en Angleterre ?

Ou bien à Stuttgart ?!

Une belle Ford Cortina mk1

N’allez pas croire qu’il n’y a que des voitures et motos anciennes au Revival, les avions sont en bonne place

Le Prince des ténèbres présente bien dans la lumière…

Un p’tit creux ? Pas de soucis il y a toujours un food truck à portée de main

Pareil pour s’hydrater, les propositions sont multiples et tentantes

Tiens on se connait ! Edd est encore plus grand en vrai qu’à l’écran, mais tout aussi sympathique.

Artiste au stylo BIC, impressionnant à voir

Il y a tout sorte de voitures exposées, de la plus petite en état neuf (et immatriculé en Allemagne…)

Au plus gros en état légèrement avancé pour rassurer les éventuels projets à venir : rien n’est impossible !

Au Earl Court Motor Show, la grosse attraction était une auto toute neuve, présentée en 1ère mondiale, la TVR Griffith 2017. Un physique discutable, mais une fiche technique alléchante !!

C’est l’occasion de reparcourir l’histoire de la marque, à l’image de cette magnifique Grantura de 1959

L’occasion aussi de faire connaissance avec les filles de Blackpool 🙂

Chez Maserati c’est l’heure du ménage !

P&A Woods présente la magnifique Phantom III du Marchal Montgomery, une véritable œuvre d’art.

De passage dans les paddocks, certaines séances de réglages sont pour le moins surprenantes…

Hummm une D-Type cherche à se faire discrète avant d’aller mordre en piste

Les grid girls se promènent

Ah non en fait elles vont au boulot

Bravo à elles d’avoir affronté toutes les conditions météo avec flegme et sourire !

Le Brookland Trophy attend fébrilement sous la pluie en pré-grille

Cette Maserati 8C ne fera pas le drapeau à damiers

On termine la balade par un passage chez Bonhams, le catalogue de la vente aux enchères regorgent de beautés

Le gros morceau de la vente était sans conteste la Ford Galaxie 500 ex Jack Sears, estimée autour des 250.000 £, elle est adjugée 471.900 £, un peu plus de 500.000 € !

Tout aussi pleine d’histoire et d’authenticité, cette Austin Healey 3000 mk1 usine a brillé qui a brillé au Rallye de l’Acropole 1961 s’est vendue 236.700 £.

Toujours hors budget pour des courses historiques, allez on regarde cette délicieuse Morgan de 1954… 68.700 £ sous le marteau, non définitivement il va me falloir un coup de main d’Euromillions !

Et sinon, un petit Moke pour l’été ? Pas bête, et presque raisonnable avec un prix de vente de 15.833 £. Oui si vous repensez au prix d’un même Mini Moke il y a 10 ans, ça pique…

On a l’auto pour l’été, voici celle pour l’hiver dans nos montagnes : un monstrueux Land Rover Serie II à chenilles a changé de mains contre 33.000 £ ! Plus d’excuses pour arriver en retard au boulot les jours de neige 🙂

Vous voulez en voir plus du Revival ? On se retrouve très vite pour d’autres articles

Crédit photos @ Ambroise Brosselin.

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